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HISTOIRE & TRADITIONS

Premiers paras FR_1_edited.jpg
Aviateurs du 602ème GIA

L’histoire du CPA 10 est marquée par des concepts prometteurs et innovants, des phases de combats et de doutes. Ce renouvellement permanent a permis d’inscrire dans les gènes de l’unité le courage, l’innovation et l’optimisation des hommes, des organisations et des technologies.

Capitaine Frédéric Geille en URSS, premier parachutiste français
Saut des premiers parachutistes français en URSS

1.          LES ORIGINES

​​​​​​​​En 1935, l'Armée de l'air envoie en URSS une mission d’étude chargée d’explorer un concept novateur : le parachutisme comme moyen de sauvetage des équipages d’aéronefs. A son retour, le capitaine Geille, pilote de chasse et premier parachutiste français, crée un centre d'instruction de parachutisme militaire (CIPM) sur le site d’Avignon-Pujaut. Il s'agit alors d'entraîner uniquement le personnel navigant à la pratique du saut en parachute.

Centre de formation parachutiste à Avignon
Premiers sauts en parachute militaire, France

Face aux résultats convaincants de ce centre, l'Etat-major de l'armée de l'air met sur pied, le 2 octobre 1936, deux groupes d'infanterie de l'air (GIA) dont le concept d'emploi intègre la notion de combat aéroporté. En effet, leur mission initiale est de « débarquer par avion ou de déposer par parachute en territoire ennemi, des troupes rompues au combat d’infanterie. […] L’action au sol prend la forme d’un combat offensif ou défensif, de destructions de toutes natures ou de missions particulières [1]». Déclarés opérationnels le 1er avril 1937, le 601e GIA de Reims (Marne) et le 602e GIA de Blida/Maison Blanche (Algérie) constituent les deux premières unités parachutistes françaises. Elles sont alors organisées selon le modèle soviétique de l’époque : un état-major, une escadrille de transport de troupe (ETT), une compagnie d’infanterie de l’air (CIA) et des services. Le capitaine SAUVAGNAC, du 601e GIA, reçoit le premier brevet de parachutisme militaire, le 1er janvier 1938.

Troupes du 602ème GIA

En 1939, alors que débute le second conflit mondial, le 601e GIA s’installe sur la base aérienne d’Avignon-Pujaut et le 602e GIA à Montélimar. Les deux unités sont réunies quelques temps plus tard au sein d’un seul groupement d’infanterie de l’air, placé en réserve générale. Le 31 janvier 1940, il constitue une compagnie de marche de l’infanterie de l’air (CMIA), commandée par le capitaine GLAIZOT. Elle comprend quatre groupes de corps-francs[2], placés sous les ordres des lieutenants Audebert et Le Bourhis du 601e GIA et des lieutenants Chevaliers et Lemaître du 602e GIA. Durant les mois de févriers et mars 1940, la CMIA effectue 28 patrouilles en territoire ennemi et monte 23 embuscades. Les accrochages sont nombreux et violents. La CMIA perd au combat les premiers parachutistes alliés : le sergent Barrate (24 février 1940) et le sergent Solacoup (7 mars 1940). Pourtant, les résultats remarquables, obtenus en seulement quelques semaines, montrent que l’Armée de l’air a eu raison de croire à ce corps nouveau : l’infanterie de l’air. D’ailleurs, cette courte campagne est l’occasion de citer 54 officiers, sous-officiers et aviateurs à l’ordre de l’Armée, de la Brigade ou du Régiment (Escadre ?). Le 22 mars 1940, la CMIA est dissoute. Ses hommes reforment alors en grande partie les 601e et 602e GIA, d’autres constituent la garde d’honneur du commandant en chef des forces aériennes françaises, le général Vuillemin.​

Messe sur le terrain pour les paras du 602ème GIA pendant la Seconde Guerre Mondiale
Obsèques militaires d'un para du 602ème GIA, Seconde Guerre Mondiale

En mai 1940, le 602e GIA reçoit pour mission de défendre les points sensibles de l’armée de l’air et de chasser les agents infiltrés. Après des repositionnements successifs à Montargis, à Avignon-Pujaut, c’est depuis Maison-Blanche que le 602e GIA apprend la capitulation française. Malgré la démobilisation puis la dissolution des deux GIA le 25 août 1940, ses hommes vont continuer la lutte :

-  En Afrique du nord (AFN), au sein de la compagnie d’infanterie de l’air (CIA) n°1, qui devient le 1er Bataillon puis Régiment de chasseur parachutiste (RCP) de l’armée de l’air, le 1er juin 1943, sous les ordres du commandant Sauvagnac ;

-   À  partir du Royaume-Uni, en s’engageant dans les forces françaises libres (FFL) et les forces aériennes libres (FAFL).

Le général de Gaulle y crée la 1ère compagnie d’infanterie de l’air (CIA)[3], le 29 septembre 1940 et en confie le commandement au capitaine Berge (602ième GIA puis état-major de l’air) puis au capitaine Coulet, le 02 octobre 1942. Elle devient ensuite 1ière compagnie de chasseur parachutiste (CCP), plus connue sous le nom de French Squadron[4] au sein des special air service (SAS) de l’armée britannique.

Les SAS français

En 1945, toutes les unités parachutistes françaises sont rattachées à l’armée de terre, reprenant l’appellation de 1erRCP. Le régiment conserve par tradition le charognard de l’aviateur sur ses épaulettes. L’armée de l’air conserve quant à elle les traditions du 602e GIA. Telle fut la destinée de l’infanterie de l’air, née par la volonté d’esprits éclairés et visionnaires de disposer d’une troupe légère, agile et mobile. Créé quelques années plus tard pour retrouver cet état d’esprit, le CPA 10 est le descendant direct de ses pionniers du parachutisme français et hérite naturellement des traditions du 602e GIA.

Insigne du 602ème GIA

2.          LA RENAISSANCE

A l’origine de la création des premières troupes aéroportées françaises à la veille de la seconde guerre mondiale, l’Armée de l’air renoue quelques années plus tard avec l’épopée de l’infanterie de l’air parachutiste. 

 

Dans le contexte particulier de la guerre d’Algérie, les opérations de bouclage et de ratissage de l’armée française, menées pourtant avec des moyens lourds, sont loin de donner le rendement attendu : l’insurrection progresse. Dans ces circonstances, le général de Maricourt, commandant l’Armée de l’air en Algérie, décide de constituer le laboratoire d’une autre voie, qui combine l’imitation de l’adversaire dans sa légèreté avec la maitrise de la troisième dimension. En effet, l’essor des hélicoptères armés dans ce conflit permet à présent d’insérer des troupes elles-aussi légères, sur les arrières de l’ennemi, au cœur de leur sanctuaire, pour y mener des actions de harcèlement sur les moyens de commandement, de communication et de logistique. 

Toujours selon le général de Maricourt, ces troupes combattantes doivent impérativement être de l’Armée de l’air car, « il est plus facile à un aigle de marcher qu'à un serpent de voler[5] ». Ainsi, l'Armée de l'air crée le 12 mars 1956[6], une première unité d'infanterie de l'air de type commando[7], le commando 10.541 (futur commando parachutiste de l'air n° 10 ou CPA 10). Tel un trait d’union entre le ciel et la terre, le CPA 10 est chargé de prolonger l’action des aviateurs au sol, partout où la situation tactique l’exige. Pour cela, il s’appuie sur la vitesse de projection et la notion de surprise qu’amènent le parachutage ou la dépose par hélicoptère. Ses premiers éléments sont sélectionnés au sein de toutes les unités de l’armée de l’air[8]. Une fois les effectifs au complet et les premiers entrainements effectués, le CPA 10 est alors détaché quelques mois au sein de l’armée de terre, afin de s’aguerrir aux techniques de combat antiguérilla. C’est depuis la base de Tébessa et sous les ordres d’un certain colonel Bigeard du 3ème régiment de parachutistes coloniaux (RPC), que « les gars du 10 » se font remarquer pour leur bravoure et leurs qualités humaines et techniques. Le CPA 10 brille au combat et l’unité est déclarée opérationnelle. Elle s’installe à La Reghaia, sous les ordres du capitaine MEYER, comme unité d’intervention du corps d’armée d’Alger. Le concept est ainsi validé et donne lieu à la création d’unités cousines : CPA 20, CPA 30, CPA 40, CPA 50. 

Quelques mois plus tard, l’armée de l’air les rassemble sous la bannière commune du groupement des CPA[9] (GCPA). Placé à la tête du GCPA, le lieutenant-colonel Coullet mesure rapidement tout l’apport des combattants du CPA 10 dans un conflit asymétrique. Il engage alors très activement l’unité dans la campagne algérienne. En 1957, le CPA 10 prend part aux missions de démantèlement dans l’algérois. En 1959, il participe à toutes les opérations du plan CHALLE, qui permet officiellement d’achever, en 1960, la pacification de ce département français.

 

 

 

Fort de son expérience au combat, de sa connaissance du terrain, le CPA 10 est devenu une référence dans la contre-guérilla. Sa valeur est « comparable à celle des meilleurs régiments parachutistes. Ses qualités de dynamisme et souplesse sont appréciées par le haut commandement en Algérie. Sa réputation est également bien assise dans l’Armée de l’air »[10]. Avec d’autres, il est alors chargé d’éliminer les dernières bandes rebelles dans les Aurès. C’est en conduisant une opération de ce type, que le CPA 10 apprend, sur le terrain, le putsch des généraux d’Alger, le 21 avril 1961. Au titre de leur proximité avec le général Challe et du soulèvement militaire, la majorité des CPA sont dissous le 1er mai 1961[11]. Dans les faits, seul le CPA 40 a pris part activement à cette tentative de coup d’Etat. 

 

L’histoire se répète donc. Comme le 602ième GIA auparavant, le CPA 10 a été créé à la demande de certains généraux de l’armée de l’air, désireux de voir les aviateurs participer plus intensément aux combats. Comme le 602ième GIA auparavant, le CPA 10 n’a pas réussi à survivre au conflit pour lequel il avait été mis sur pied.

Défilé des commandos du CPA10 à la Regahia

3.          LA MISE EN SOMMEIL

Les hommes sont alors rapatriés d’Algérie en France. Seule la compagnie des commandos parachutistes de l’air (CCPA) 50.541[12] perdure en Algérie jusqu’au 30 juin 1962. A son retour en métropole, elle sert de base à la création d’unités de fusiliers commando de l’air, responsables de la sécurité des bases aériennes et des points sensibles « air ». Ce pivot vers la protection-défense marque un véritable tournant dans les missions jusque-là confiées aux commandos de l’air. Il s’inscrit dans une manœuvre plus globale de l’armée de l’air, rendue nécessaire par l’arrivée de l’arme nucléaire dans les forces. 

Durant une période allant de 1962 à 1979, différentes appellations se succèdent les unes aux autres. Elles témoignent d’une spécialité à la recherche d’un nouvel équilibre, entre un héritage basé sur l’intervention et l’offensive, et une actualité alors tournée vers la protection et la défense. Tout d’abord la CCPA devient l’escadron des fusiliers commandos de l’air (EFCA) le 21 avril 1965. Il est installé sur la base aérienne (BA) 726 de Nîmes-Courbessac, en vue de former le personnel chargé de la protection des installations des forces aériennes stratégiques. En 1968, l’EFCA devient l’Escadron des fusiliers commandos d’intervention (EFCI). Il reprend alors les traditions des CPA et acquiert la qualité d’unité des « troupes aéroportées ». En septembre 1969, il reçoit le privilège de se voir confier la garde du drapeau du GCPA d’Algérie. Plus tard, en avril 1978, l’EFCI devient l’Escadron d’évaluation et d’intervention (EEI) et enfin l’Escadron de protection et d’intervention 11.301 (EPI) en avril 1979.

 

L’EPI affirme alors sa vocation commando en conduisant, dans le cadre d’exercices programmés, des opérations offensives de harcèlement, d’infiltration et de destruction d’objectifs sensibles à l’intérieur des bases aériennes de l’armée de l’air et de points d’intérêts stratégiques pour la nation. Sa doctrine s'affine, les suspicions s'éloignent, l'utilité ne fait plus de doute. D’ailleurs, ces savoir-faire sont régulièrement éprouvés sur les théâtres d’opérations extérieures :

-      en Afrique : Mauritanie (1980, 1991), Tchad (1986), Djibouti (1984), République de Centrafrique (1980) ;

-      au Moyen-Orient : Liban (1982, 1983), Arabie-Saoudite (1991) ;

-      en Ex-Yougoslavie (1992).

 

Ainsi, la mémoire des CPA, censée perdurer à travers des unités dédiées à la protection des bases aériennes, ressuscite au fur et à mesure que l’armée de l’air saisit la pertinence de disposer d’unité commando pour les opérations extérieures.

Photo de fusiliers commandos de l'EEI
Défilé de fusiliers commandos de l'EPI

4.          LE CHANGEMENT D’ERE

En 1991 tout s’accélère. Les succès remportés par les forces spéciales (FS) américaines et anglaises au cours de la guerre du Golfe ont mis en lumière les lacunes françaises en organisation interarmées, et directement influé sur la décision de création du commandement des opérations spéciales (COS) en 1992[13]. Cet état-major est désormais chargé d’apporter des solutions alternatives et complémentaires à celles des forces conventionnelles, que ce soit en anticipation, en planification ou en conduite.

Pour remplir ses fonctions opérationnelles, le COS emploie des hommes, des femmes, des matériels et des savoir-faire fournis par des unités quasiment dédiées au sein des composantes. L’armée de l’air retient l’EPI. A cette occasion l’EPI devient l’Escadron d’Intervention des Commandos de l’Air (EICA), regroupant les CPA 10 (constitué d’engagés) et CPA 40 (constitué d’engagés et de volontaires service long). Débuté en 1992, le processus d’intégration à la communauté FS se conclut au 1er janvier 1994, lorsque le CPA 10 redevient une unité à part entière, 33 années après sa dissolution. Implanté d’abord sur Nîmes, il stationnera successivement sur la BA 200 d’Apt (1996) puis sur la BA 123 d’Orléans-Bricy, au quartier Reymondaud (1999).

Ce CPA 10 « nouvelle génération » connait alors un long processus de consolidation, tant sur le plan capacitaire qu’opérationnel. Progressivement l’action de ses groupes passe de l’engagement des moyens aériens dans la profondeur (appui aérien rapproché et reconnaissance de pistes) à un système de combat stratégique. Sur l’intuition et l’obstination de ses opérateurs, le CPA 10 se dote d’équipements spécifiques et acquiert la maitrise de techniques de haut du spectre comme le saut opérationnel à très grande hauteur, la libération d’otage, le contre-terrorisme, le tir de haute précision. Côté opérations, le CPA 10 est d’abord engagé en Afrique pour des actions souvent menées dans l’urgence (Rwanda, RDC). En 1995 débutent les campagnes de longue durée, avec les premières missions de renseignement et de capture au profit du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), et les interventions en Côte d’Ivoire ou en Centrafrique. Arrivent ensuite les opérations fondatrices du COS moderne en Afghanistan avec les Task Forces (TF) Arès de 2003 à 2006, dédiée aux reconnaissances spéciales et à la contre-insurection, puis Jehol et TF-32 de 2011 à 2013, qui voient le début des missions de contre-terrorisme et du ciblage – des savoir-faire qui serviront de socle au développement des capacités CT mises en œuvre dans le cadre des TF suivantes. À partir de 2013, les missions du CPA 10 se caractérisent à la fois par la priorité donnée aux actions directes de contre-terrorisme et au ciblage d’« individus à haute valeur » (IHV) – notamment par la TF Sabre au Sahel – et par un certain renouveau de l’action indirecte avec l’engagement au combat aux côtés de forces locales, qu’illustre la TF Hydra étroitement intégrée avec les milices kurdes d’Irak (Peshmerga) et de Syrie (YPG-FDS). Après presque 20 années de guerre contre le terrorisme, la lutte est loin d’être achevée. Elle demeure un enjeu de taille mais le COS et ses unités doivent adapter leur réponse et réorganiser leur dispositif pour faire face aux nouvelles menaces que représentent les grandes puissances rivales. Ce contexte de renouveau de la compétition stratégique pousse alors le CPA 10 à développer des aptitudes nouvelles pour évoluer en zone grise. En parallèle, il tient également une alerte en France (METEOR) qui permet d’intervenir, dans un délai très court, partout dans le monde et de répondre à un large éventail de situations complexes et incertaines (opérations Apagan à Kaboul et Sagittaire au Soudan).

Ces trois décennies d’opérations spéciales ont été dominées par des missions menées dans des environnements instables, le plus souvent contre des adversaires irréguliers. Le rôle de premier plan que le CPA 10 a joué dans ce cadre, notamment en termes d’ouvertures de théâtre, d'interventions dans la profondeur, d’actions sur des objectifs à haute valeur ou en matière de lutte contre le terrorisme, a entériné son assise au sein de l’Armée de l’air et de la communauté des opérations spéciales.

Chuteur du CPA10

L'histoire du CPA 10, unité d'élite de l'armée française, s'étend des origines du parachutisme militaire en 1935, à sa transformation en forces spéciales modernes, en passant par un engagement crucial en Algérie. A chaque fois, le CPA 10 s'est distingué par ses capacités d’innovation et d’adaptabilité et a démontré son efficacité tactique. Son rôle crucial dans la réponse aux nouvelles menaces illustre parfaitement l'évolution de la guerre et l'importance des forces spéciales dans le contexte géopolitique contemporain.

 

Cet historique ne serait pas complet sans mentionner la place et l'importance prépondérante des hommes et des femmes qui composent cette unité. Leur courage, leur dévouement et leur expertise sont au cœur des succès et de la réputation du CPA 10. La sélection rigoureuse et la formation exigeante garantissent que chaque membre possède des compétences exceptionnelles adaptées aux missions, variées et complexes. Ce sont eux qui décident, qui commandent, qui combattent, qui résistent et parfois, qui meurent.

[1]  Pierre COT, ministre de l’air, arrêté interministériel du 3 octobre 1936.

[2]  Leur mission d’un corps-franc consiste à rechercher du renseignement, à faire des prisonniers, à créer une insécurité sur et derrière les lignes adverses.​

[3] Ordre général n°765 du 29 septembre 1940.

[4] Sur ce modèle, d’autres unités spécialisées sont créés par suite : le 3ième bataillon d’infanterie de l’air (BIA) du capitaine Pierre Chateau-Jobert et le 4ième BIA commandant Pierre-Louis Bourgoin.

[5] Extrait du plaidoyer de 1955 du général DE MARICOURT envers le général BAILLY, chef d’état-major de l’armée de l’air et du général JOUHAUD, son major général, proposant la création de créer cinq unités de commandos parachutistes au sein de l’armée de l’air.

[6] Décision n°532 du 12 mars 1956 de monsieur LAFOREST, secrétaire d’état aux forces armées Air.

[7] ROUVILLOIS Bertrand, docteur en histoire, extrait du livre les unités parachutistes en Algérie », p17.

[8] La sélection est particulièrement sévère et les limites d'âges sont basses : 25 ans pour les hommes de troupe. Les aptitudes médicales, caractérologiques et physiques sont très sérieusement contrôlées pour l’époque.

[9] Décision n°5576/EMAA du 1er mai 1957.

[10] Général Stehlin, chef d’état-major de l’armée de l’air, le 17 octobre 1960.

[11] Décision n°1709/EMAA, signée du général Jacquard, sous-chef d’état-major de l’armée de l’air.

[12] Instruction n°1882/EMAA du 15 mai 1961 du colonel Favre, adjoint au sous-chef d’état-major de l’armée de l’air sur ordre du chef de l’Etat. Avec le GCPA, le 1er REP, les 14ème et 18ème RCP sont également dissous.

[13] Arrêté du ministre de la Défense Pierre Joxe, le 24 juin 1992.

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